Le réchauffement climatique se caractérise par un changement significatif du climat. Cette transformation qui intervient sur l’ensemble de la planète est liée aux activités humaines qui modifient l’environnement et les écosystèmes.
L’observation des effets de l’industrialisation, de l’hyper consommation et de l’impact des différents modes de vie, se précise à compter du 18e siècle pour devenir, plus tardivement encore, une préoccupation des gouvernements. Les conditions climatiques ont toujours été liées au développement des civilisations dans telle ou telle région du monde. Les implantations humaines se sont faites en fonction des climats. Et les découvertes technologiques, l’industrialisation, ont fini par se répercuter sur l’atmosphère.
Les scientifiques réalisent vraiment au 19e siècle à quel point la couche d’air qui entoure le globe terrestre affecte la température de la Terre. Plus l’air est encombré et vicié par les activités humaines et industrielles, plus la surface de la terre se réchauffe. Les gaz à effet de serre sont des gaz naturels présents dans l’atmosphère, qui retiennent les rayons du soleil et stabilisent ainsi la température de la planète. Mais d’autres gaz générés par les actions de l’homme viennent s’y rajouter et en dérégler l’équilibre.
La hausse des émissions des gaz à effets de serre a augmenté progressivement la température de surface de la terre de 1,1°. La déforestation de masse, les usines qui déversent leurs résidus dans les sols ou les airs, la pollution des grandes villes sont nocives à l’harmonie terrestre. Tous les éléments sont bouleversés. Les glaciers fondent, l’eau se raréfie dans certaines régions, les précipitations alternent avec les canicules, les tempêtes se multiplient tout comme les catastrophes naturelles, et l’on constate une grande variabilité des températures de saison.
Notre planète affiche une moyenne de 15° en surface que ce soit sur les terres émergées, les océans, les mers, les lacs. Elle doit cette clémence relative aux rayons solaires et aux gaz naturels à effets de serre comme le gaz carbonique et la vapeur d’eau. Mais comme analysé plus haut, cette donnée, que l’on pensait autrefois fixe ad vitam aeternam a évolué et peut continuer à se modifier sensiblement. En apparence, que la terre affiche un degré de plus peut paraître anodin, mais l’impact de ce petit degré qui la réchauffe la déstabilisegrandement.
Le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat a été fondé en 1988, réunissant les pays membres de l’ONU. Sa mission consiste en l’évaluation et la suggestion de stratégies visant à diminuer les risques liés au réchauffement climatique. Il suit et s’appuie sur les travaux des scientifiques pour comprendre et proposer des alternatives économiques, industrielles, sociales qui minimisent les nuisances des activités humaines sur l’environnement climatique et la biodiversité. Il essaie de réunir des intérêts communs pour protéger la planète.
Pour lutter contre le réchauffement climatique, chaque citoyen du monde devrait être capable d’intervenir à son échelle et de se comporter correctement en temps qu’éco responsable. Les ONG et le GIEC sont présents sur le terrain pour expliquer combien les actions humaines positives peuvent inverser la tendance. Elles passent par des gestes qui réduisent les consommations d’énergie, que ce soit dans les foyers ou pour les transports, mais aussi par le tri des déchets, l’alimentation, la préservation des océans et des forêts.
Le réchauffementclimatique devraitêtre la préoccupation de tous. Chaque goutte d’eau versée dans l’océan des revendications et des actions contribue à améliorer ou rétablir l’équilibre de la Terre. La prise de conscience doit être à la fois mondiale et singulière.
Une catastrophe naturelle peut arriver à n'importe qui ... d'où l'importance de bien s'assurer !
Et en cas de gros dégâts, faites appel à un expert d'assuré.